Le pouvoir d’attraction de la Cité des Doges ne faiblit pas. Ruelles bondées, aqua alta, prix excessifs, longues files d’attente… rien n’y fait, les visiteurs sont toujours aussi nombreux. Les amoureux de la ville du Carnaval, de la Biennale, des gondoles et des masques en papier en redemandent. Ce qui fait le bonheur de Martina, notre guide ARICIA ; attachante, passionnée, énergique. Martina ne vous fera pas croire que la Venise insolite existe encore : « balivernes, tous les recoins de Venise sont désormais connus par les touristes » par contre elle n’a pas son pareil pour faire revivre les pierres et les légendes et nous plonger avec bonheur dans l’histoire - passée et récente - de sa ville.
jeudi 26 février 2009
mercredi 11 février 2009
Los mejores pintxos de Bilbao
lundi 9 février 2009
Sentinelles
Cap Skirring, Basse Casamance, mes premiers pas en Afrique. Si j’ai traversé sa frontière Nord de part en part, sillonnant tous ses pays dont les côtes plongent dans le Méditerranée, « ce n’est pas l’Afrique » me dit-on. Ajoutant que je ne peux rêver mieux que le Sud du Sénégal pour un « baptême » en terre africaine.
A Cap Skiring, en Basse-Casamance, L’atmosphère est douce et lascive. Le tourisme y est encore discret. Pas d’impatience ni de clameurs. Tranquille. « Petit coin de paradis » ne semble pas usurpé. Les plages sont belles et vastes. Vides dès que l’on quitte les abords du village, en descendant vers Kabrousse et la frontière invisible avec la Guinée –Bissau.
La pêche n’y constitue pas l’activité principale; la richesse et la puissance se mesurent encore à la quantité de riz entreposée. Sur le sable clair et ferme, des vaches sont postées telles des sentinelles face à l’océan. Immobiles. Sur le flanc ou debout, en attente ou en observation. Certaines ont du apercevoir les frêles embarcations chargées d’espoir, qui quittent ce « petit paradis » pour tenter de rejoindre un autre continent.